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Assurance-vie : les règles à connaître avant de signer le contrat

L’assurance vie, en France ou au Luxembourg, fait partie des placements favoris des Français, surtout ceux disposant déjà d’un patrimoine. Aujourd’hui, elle représente environ 1 600 milliards d’euros placés.

Si ce placement attire autant de monde, c’est bien grâce à ses spécificités.

En premier lieu, il y a la fiscalité motivante sur les revenus et sur les successions si jamais le souscripteur décède.

Aussi, son offre financière est très vaste, en particulier son fonds en euros assuré qui amasse constamment une bonne partie des versements. Sous ses aspects assez ordinaires, l’assurance-vie est pourtant un produit technique qu’il vaut mieux maîtriser. L’assurance vie luxembourgeoise, grâce à sa sécurité, est ce qui se fait de mieux en matière  d’assurance vie.

Une assurance sans assurance

Si on se fie à son nom, l’assurance-vie en France ou au Luxembourg, doit assurer quelque chose et pourtant, elle n’assure rien.

Elle représente plutôt un produit d’épargne : le souscripteur récupère l’argent qu’il a placé avec les intérêts financiers accumulés au fil du temps.

Cependant, il ne faut pas confondre celui-ci avec l’assurance décès. Cette dernière permet aux bénéficiaires indiqués au moment de la signature du contrat de toucher la somme versée par le souscripteur. Dans certains contrats, le montant épargné peut être majoré en cas de décès, mais ils sont minoritaires et le dédommagement est toujours limité.

Un impôt allégé après huit ans

Lors d’un rachat, le souscripteur a le choix entre deux fiscalités : l’impôt sur le revenu ou le prélèvement libératoire (taux dégressif). 

Lorsqu’une personne souscrit à une assurance vie, elle est libre de retirer son épargne au moment où elle le souhaite. Sa société d’assurances dispose d’un délai de deux mois pour verser la somme due.

Néanmoins, sur le plan fiscal et lors d’un prélèvement libératoire, conserver son contrat sur une durée minimum de huit ans avant un premier retrait est conseillé car c’est à compter de cette période que s’applique la fiscalité la plus douce.

Pendant les quatre premières années d’une souscription à une assurance-vie, le prélèvement libératoire appliqué sur les retraits est en revanche décourageant, il s’élève à 35 %. Entre la quatrième et la huitième année, ce taux baisse à 15 %. C’est donc au bout de 8 ans que ce taux devient le plus avantageux, atteignant les 7,5%.

Dans le cas où le souscripteur est licencié, en invalidité ou mis à la retraite anticipée, les gains retirés sont exemptés d’impôt.

L’Assurance vie Luxembourgeoise ?

Si vous souhaitez souscrire une assurance vie sachez qu’il n’y aucune différence entre la France et le Luxembourg, sauf 3 avantages essentiels en faveur du Luxembourg :

  • Le souscripteur d’une assurance vie au Luxembourg est considéré comme un créancier privilégié de premier rang. En cas de faillite, ses actifs sont entièrement protégés, contrairement à la France où une telle sécurité n’existe pas.
  • La neutralité fiscale : la fiscalité de l’assurance vie au Luxembourg s’adapte à la fiscalité du pays de résidence de l’assuré.
  • La diversité de gestion : il est possible de placer des fonds dans des devises différentes, de changer de gestionnaire librement, etc.

En dehors d’un placement en assurance vie, il est possible de développer son patrimoine grâce à l’immobilier.

Ce type d’investissement est tout aussi fiable que l’assurance vie et ne demande aucun apport financier. Néanmoins il requiert un prêt bancaire. Pour plus d’informations sur ce type de crédit, vous pouvez vous rendre sur le site petit-credit.com.